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Accéder à ses KPI depuis Microsoft Teams ou Slack

En ces temps compliqués d’épidémie, le télétravail a explosé. La transformation des process de travail se fait entre enthousiasme et marche forcée : quid de l’accès aux données ?  Nous vous parlions la semaine dernière de Facebook Workplace, place cette semaine aux deux concurrents Microsoft Teams et Slack.

Des resultats exceptionnels : Teams & Slack s’imposent au 1er trimestre 2020

Les deux services de messagerie internes et de collaboration ont tous deux affiché des résultats impressionnants en terme de nombre d’utilisateurs, liés sans conteste au COVID.

Teams a doublé son nombre d'utilisateurs actifs quotidien, passant de 32 millions début mars à 75 millions début mai. Slack, de son coté, enregistre 44% de messages en plus par utilisateur, même si le nombre d’utilisateurs connectés ne passe “que” 10 à 12,5 millions d’utilisateurs simultanés .

Face à cette situation sans précédent, Slack a également annoncé le 2 avril une version bêta de l'application “ Microsoft Teams Calls pour Slack “ - Doit on y voir l'annonce d’un rapprochement stratégique ou la poursuite d’une tactique antérieure adoptée par ces deux concurrents de longue date ? 

En réalité, comme le rappelait Stewart Butterfield, patron de Slack, Teams et Slack ne sont pas en concurrence directe. Slack permet l’intégration de nombreux outils et services pour tout rassembler au même endroit et ainsi faciliter les interactions de ses utilisateurs, tandis que Teams, lui, permet une communication collaborative axée sur la suite désormais nommée Office 365.

Les KPI en accès controlé sur teams & slack : le choix de la cohérence

Conversation avec le data-assistant askR.ai dans l’interface de Microsoft Teams

Conversation avec le data-assistant askR.ai dans l’interface de Slack

Ce que ces outils ont en commun, c’est de proposer une plateforme de travail collaboratif, où l’échange permet d’accéder à l’information. Les utilisateurs sont connectés toute la journée, et leur premier réflexe est d’interroger la bonne personne en cas de besoin.

Dans cette logique de plateforme connectée à 360, l’accès aux données est stratégique. Il s’agit de fournir un interlocuteur fiable sur les données, dispo 24/24 sur Microsoft Teams ou sur Slack , afin de confirmer ces espaces dans leur rôle de fournisseur de ressources. Un data-assistant capable fournir la bonne info au bon moment , comme un vrai collègue compétent dispo 24/24 finalement !

Le principe est simple : depuis Slack ou Teams, les utilisateurs peuvent désormais interroger un data-assistant qui comprend leurs questions et interroge la base de données. Tout particulièrement en télétravail: pas de problème de sécurisation d’accès aux données, qui ne sortent ainsi pas de l’infrastructure de l’entreprise.

Un petit point en plus niveau sécurité pour Slack qui stocke sur un serveur en France l’historique des conversations, et a retiré la localisation automatique des images ajoutées. Une initiative bienvenue dans un contexte où l’usage des nouveaux outils collaboratifs ne diminuera pas, et où l’exigence de securité continuera d’augmenter.


Le data-assistant askR.ai est également compatible avec d’autres canaux :

Un assistant-data virtuel dans Facebook Workplace : télétravail et productivité, c’est possible ?

En ces temps compliqués d’épidémie, le télétravail a explosé. La transformation des process de travail se fait entre enthousiasme et marche forcée : quid de l’accès aux données ? 

Les nouveaux canaux  : de la communication à la collaboration.

Les canaux de communication en entreprise sont de moins en moins des outils destinés à relayer l’information depuis le haut vers les reste de l’entreprise. Les nouveaux canaux, en plus de l’email ou du telephone, permettent aux membre de l'entreprise d’être actifs. En plus de recevoir l’information, ils peuvent la chercher et échanger autour. Bref, devenir des collaborateurs, c’est à dire capable de collaborer dans une démarche transversale, source d’autonomie.

Le monde de l’entreprise a donc vu arriver les outils collaboratifs, une transformation accélérée par le cloud pouvant augmenter la capacité de stockage des messages ainsi que le travail simultané sur un meme document par exemple. 

La digitalisation de l’entreprise se manifeste donc de manière essentielle dans les outils qu’elle met à disposition de ses équipes pour accéder aux informations avec rapidité et efficacité.

Les données clefs en accès controlé sur facebook workplace.

Lancé en 2016, Facebook est le premier réseau social d’entreprise (RSE). Facebook fait alors le pari que puisque des millions d’utilisateurs maitrisent déjà dans leur vie privée cette interface, la retrouver au travail facilitera son adoption. C’est donc une plateforme intuitive, faite pour l’échange et qui se distingue par l’existence de groupes de travail et sa messagerie instantanée. 

Pour une entreprise qui utilise un RSE, c’est LE lieu où trouver le bon interlocuteur pour faire avancer un projet, qui va vous rediriger au bon endroit. Autrement dit, multiplier les ponts vers d’autres application va encore plus ancrer et fluidifier les usages. Devoir ressortir de la plateforme, accéder à une autre, repasser à un autre mode de fonctionnement, c’est autant de temps perdu qu’il en avait été gagné au départ en productivité.

Conversation avec le data-assistant askR.ai dans l’interface de Facebook Workplace

Ne pas multiplier les interfaces est d’autant plus déterminant sur la question de l’accès aux données, autre pan de la digitalisation des entreprises. Les données doivent être présentes dans l’environnement de travail. Facebook Workplace n’est cependant pas un espace de stockage mais un espace d’échange. Il ne faut don pas héberger les données dont les collaborateurs ont besoin sur facebook workplace, mais donner un acces qui soit sur le même mode : celui de la conversation.

C’est pour cette raison que Matthieu Chabeaud a décidé de créer avec son équipe un data-assistant disponible sur les canaux vraiment utilisés au quotidien en entreprise. Il s’agit de fournir un interlocuteur fiable sur les données, dispo 24/24 sur Facebook Workplace. Workplace reste donc bien le lieu où trouver le bon interlocuteur capable de fournir la bonne info au bon moment !

Le principe est simple : depuis Facebook Workplace, les utilisateurs peuvent désormais interroger un data-assistant qui comprend leurs questions et interroge la base de donnée. Tout particulièrement en télétravail, pas de problème de sécurisation d’accès aux données, qui ne sortent ainsi pas de l’infrastructure de l’entreprise.

Le data-assistant askR.ai est également compatible avec d’autres canaux :

askR.ai : un data-assistant pour interroger Snowflake

Grâce à une architecture unique, cette jeune pousse bouscule les codes du Cloud et favorise les innovations comme askR.ai.

Fondé en 2013 par 3 français un peu frustrés par la lenteur des grands acteurs de bases de données pour lesquels ils travaillent à l’époque, Snowflake est le  premier data warehouse cloud-native. L’équipe a levé depuis sa fondation 923 millions de dollars, pour une valorisation actuelle de 3,5 milliards de dollars. 

Séparer le traitement des données du stockage, une intuition payante.

Pourquoi en à peine 6 ans l’entreprise s’est-elle imposé face à des concurrents aussi énormes que Amazon ou Microsoft ? Parce que l’architecture cloud a été pensée de manière à “décupler le nombre d’utilisateurs simultanées et le nombre de requête sans nuire aux performances”, précise Thibault Ceyrolle, président de Snowflake Europe.

Comment ? En séparant le stockage du traitement, c’est à dire en mobilisant les ressources des serveurs à la volée pour répondre à des requêtes particulières. Les données ne sont ainsi transférées qu’une seule fois, et la puissance des serveurs est totalement modulable. Ce modèle du paiement à l’usage, facturé à la seconde près, colle mieux aux besoins des entreprises de plus en plus exigeantes sur la scalabilité et la maîtrise des coûts offertes par le cloud.

>> Découvrir l’article “Le cloud est plus sécurisé que le on-premise “ <<

“No time to data”, une notion aussi importante pour Snowflake que pour le data-assistant askR.ai.

Le choix architectural de Snowflake améliore les performances de manière significative en réduisant le temps nécessaire aux requêtes. Rappelons que d’après Gartner, seulement 35% des collaborateurs utilisent la BI traditionnelle à cause de set-ups encombrants et d’une expérience utilisateur parfois déplorable.

askR.ai et Snowflake ont en commun de proposer une intégration extrêmement simple aux infrastructures existantes. Le but est de minimiser le set up et maximiser l’effet wahou avec la rapidité des requêtes effectuées. Snowflake se situe en amont de la chaîne de valeur data, plutôt du côté des data scientists capables d’appréhender toute sa puissance. askR.ai s’inscrit en aval, directement en contact avec les collaborateurs moins au fait des subtilités de l’architecture data. 

Pour Matthieu Chabeaud, CEO d’askR.ai, la connexion avec Snowflake était évidente. “Il s’agit d’un acteur assez révolutionnaire dans le milieu du cloud pour que les entreprises qui s’y intéressent envisagent, dans une vision stratégique globale, d’intégrer un data-assistant dans le quotidien des utilisateurs métiers. Nous avons donc travaillé tres rapidement à avoir un connecteur.” Snowflake est également multicloud, un choix qu’askR.ai partage puisque ce data-assistant est compatible avec Microsoft Azure , Google Big Query ou AWS.

Bref, dans une réflexion globale sur les solutions data innovantes, ces deux solutions apparaissent donc aussi incontournables que complémentaires.